Ayat Al kursi et ses bienfaits
Ayat Al Kursi
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En arabe
اللهُ لاَ إِلَـهَ إِلاَّ هُوَ الْحَيُّ الْقَيُّومُ لاَ تَأْخُذُهُ سِنَةٌ وَلاَ نَوْمٌ لَّهُ مَا فِي السَّمَاوَاتِ وَمَا فِي الأَرْضِ مَن ذَا الَّذِي يَشْفَعُ عِنْدَهُ إِلاَّ بِإِذْنِهِ يَعْلَمُ مَا بَيْنَ أَيْدِيهِمْ وَمَا خَلْفَهُمْ وَلاَ يُحِيطُونَ بِشَيْءٍ مِّنْ عِلْمِهِ إِلاَّ بِمَا شَاء وَسِعَ كُرْسِيُّهُ السَّمَاوَاتِ وَالأَرْضَ وَلاَ يَؤُودُهُ حِفْظُهُمَا وَهُوَ الْعَلِيُّ الْعَظِيمُ
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En Français
Allah ! Point de divinité à part Lui, le Vivant, Celui qui subsiste par lui-même "al-Qayyûm". Ni somnolence ni sommeil ne Le saisissent. A lui appartient tout ce qui est dans les cieux et sur la terre. Qui peut intercéder auprès de Lui sans Sa permission ? Il connaît leur passé et leur futur. Et, de Sa science, ils n'embrassent que ce qu'Il veut. Son Trône «Kursi » déborde les cieux et la terre, dont la garde ne Lui coûte aucune peine. Et Il est le Très Haut, le Très Grand.
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En phonétique
Allâhu là ilâha illâ huwa al-hayyu al-qayyûmu, là ta'huduhu sinatun wa là nawmun lahu mâ fi assamâwâti wa mâ fi al-ardi, man dâ al-ladï yasfa`u `indahu illà bi-idnihi ya`lamu mâ bayna `aydihim wa mà halfahum wa là yuhitûna bi-Say'in min `ilmihi `illâ bimâ sâ'a wasi`a kursiyyuhu as-samâwâti wa al-arda wa là ya'ûduhu hifzuhumâ wa huwa al-aliyyu al-'azim
Les mérites d'Ayat Al Kursi
La richesse qu'apporte ce verset
Chaque fois qu’on récite ce verset sur une nourriture ou un condiment, il croît. Aïcha (Radia Allah ‘anha) rapporte ceci : « Un homme est venu auprès du Prophète (Salla Allah ‘alih wa Salam) se plaindre du manque de bénédiction dont souffre tous ses biens dans sa maison. Il lui dit : Où en es-tu d’ayatu Al-kursî ? Chaque fois qu’on le récite sur une nourriture ou un condiment, Dieu accroît la bénédiction de cette nourriture et de ce condiment» Hadîth recensé par Abu l-Hassan Muhammad Ibn Ahmad Ibn Mas’ud dans ses Am’Ali et par Ibn al-Najjâr.
L'immense récompense de la récitation de ce verset
Ce verset, ainsi que la Sourate Liminaire (al-Fâtiha) et deux versets de la Sourate âli ‘Imrân (la Famille de ‘Imrân), sont accrochés au Trône divin.Tout homme qui récite ces versets reçoit une immense récompense. Al-Hassan Al-Bassarî (Radia Allah ‘anh) rapporte cette tradition en la faisant remonter directement au Prophète (Salla Allah ‘alih wa Salam): «L’Envoyé de Dieu (Salla Allah ‘alih wa Salam) a dit : « On m’a donné la Sourate Al-Fatiha (La Liminaire), le verset du Trône (Ayatu l-Kursî) et les deux versets 18 et 26 de la sourate âl ‘Imarân (La Famille de ‘Imrân). Ces versets sont agrippés au Trône divin et disent : « Seigneur ! Tu nous fais descendre sur Terre vers celui qui Te désobéit ? Dieu leur dit : Je vous ai conçus en sorte que chaque fois que l’un de Mes serviteurs vous récite a la fin de chaque prière, Je lui donne le Paradis comme lieu de séjour, Je l’installe dans la Demeure Sacro-sainte, Je le regarde chaque jour soixante-dix fois avec Mon œil, Je satisfais chaque jour pour lui soixante-dix besoins dont le moindre est le pardon, Je le fais triompher de tous ses ennemis et Je le protège contre eux» Cette tradition est recensée par Ibn al-Sani et Al-Shahami.
La grandeur D'Ayat Al Kursi
Ce verset est plus grand que les Cieux, la Terre, le Paradis et l’Enfer.
Ibn Mas’ûd (Radia Allah ‘anh) rapporte ceci : la prophete (Salla Allah ‘alih wa Salam) a dit : « Dieu n’a rien crée, comme ciel, terre, paradis ou enfer, de plus grand que Ayatu l-Kursî. » Recensé par Abû ‘Ubayd, Ibn al-Dharis et Muhammad Ibn al-Dharr.
Une entrée au paradis
Ce verset procure à celui qui le récite le droit d’entrer au Paradis. Abû Umma Sada Ibn ‘Ijlan (Radia Allah ‘anh) rapporte ceci : «Le Prophète (Salla Allah ‘alih wa Salam) a dit : A celui qui récite Âyatu l-Kursî à la fin de chaque prière prescrite, rien ne l’empêche d’entrer au Paradis, si ce n’est la mort. » Ce Hadith est recensé par Al-Nassa’î, Ibn Hibbân, Dâraqutnî, Ibn Mardawayh, Tabarânî et Ruwayani.
Quand réciter Ayat Al Kursi ?
• Lorsque l'on ressent de la tristesse, de la colère, de l'anxiété ou encore pendant les moments de doutes
• Tous les matins, avant de sortir, avant ou pendant un voyage, après chaque prière et avant de dormir
• Quand on veut éloigner le sheytan de son foyer ou de son esprit